Vers un vaccin pour contrer l'Alzheimer?

Alors que la médecine moderne continue de s'améliorer et d'avancer à un rythme de plus en plus rapide, les gens du monde entier bénéficient d'une durée de vie plus longue, en moyenne, que jamais auparavant. Par conséquent, la démence liée à l'âge et la maladie d'Alzheimer deviennent des diagnostics courants chez les personnes âgées.

Par exemple, aux États-Unis seulement, la maladie d'Alzheimer devrait toucher 5,7 millions de personnes. Maintenant, il semble que l'aide pourrait bientôt arriver sous la forme d'un nouveau vaccin potentiel qui a fait ses preuves dans les tests sur les souris.

Des chercheurs de l'Université de Californie à Irvine pensent que ce vaccin combiné d'immunothérapie devrait être prêt pour des essais chez l'homme au cours des prochaines années. La version initiale du vaccin a été créée par le professeur de l'Université Flinders Nikolai Petrovsky en Australie-Méridionale, et elle fonctionne en éliminant la «plaque cérébrale» et les agrégats de protéines tau, tous deux étroitement liés au développement de la maladie d'Alzheimer.

Le succès en 2019 avec les modèles de souris a ouvert la porte à une recherche et développement plus approfondie en 2020, selon les chercheurs.

Si le vaccin peut en effet éliminer les plaques bêta-amyloïdes (Aβ) et les agrégats de protéines tau accumulés dans le cerveau des sujets humains, tout comme il a pu le faire chez des souris qui avaient déjà montré des signes de pathologies Aβ et tau, cela devrait, en théorie, cesser le développement de la maladie d'Alzheimer.

«Ensemble, ces résultats justifient le développement de cette stratégie de double vaccination… pour les tests ultimes dans la maladie d'Alzheimer humaine», indique l'étude.


Selon le professeur Petrovsky, les chercheurs espèrent pouvoir procéder à des essais cliniques sur l'homme dans environ deux ans.

«Notre approche cherche à couvrir toutes les bases et à surmonter les obstacles précédents en trouvant une thérapie pour ralentir l'accumulation de molécules Aβ / tau et retarder la progression de la MA chez un nombre croissant de personnes dans le monde», explique le professeur Petrovsky dans un communiqué de presse. .

Ce n’est pas la première fois qu’un éventuel médicament préventif contre la maladie d’Alzheimer s’avère prometteur, mais chacun de ces médicaments a finalement échoué au moment des essais sur les humains. Dans cet esprit, l'équipe de recherche se dit déterminée et motivée à mettre en place un vaccin efficace qui peut, à tout le moins, retarder et ralentir la progression de la maladie d'Alzheimer.

Alors que la médecine moderne continue de s'améliorer et d'avancer à un rythme de plus en plus rapide, les gens du monde entier bénéficient d'une durée de vie plus longue, en moyenne, que jamais auparavant. Par conséquent, la démence liée à l'âge et la maladie d'Alzheimer deviennent des diagnostics courants chez les personnes âgées.

Par exemple, aux États-Unis seulement, la maladie d'Alzheimer devrait toucher 5,7 millions de personnes. Maintenant, il semble que l'aide pourrait bientôt arriver sous la forme d'un nouveau vaccin potentiel qui a fait ses preuves dans les tests sur les souris.

Des chercheurs de l'Université de Californie à Irvine pensent que ce vaccin combiné d'immunothérapie devrait être prêt pour des essais chez l'homme au cours des prochaines années. La version initiale du vaccin a été créée par le professeur de l'Université Flinders Nikolai Petrovsky en Australie-Méridionale, et elle fonctionne en éliminant la «plaque cérébrale» et les agrégats de protéines tau, tous deux étroitement liés au développement de la maladie d'Alzheimer.

Le succès en 2019 avec les modèles de souris a ouvert la porte à une recherche et développement plus approfondie en 2020, selon les chercheurs.

Si le vaccin peut en effet éliminer les plaques bêta-amyloïdes (Aβ) et les agrégats de protéines tau accumulés dans le cerveau des sujets humains, tout comme il a pu le faire chez des souris qui avaient déjà montré des signes de pathologies Aβ et tau, cela devrait, en théorie, cesser le développement de la maladie d'Alzheimer.

«Ensemble, ces résultats justifient le développement de cette stratégie de double vaccination… pour les tests ultimes dans la maladie d'Alzheimer humaine», indique l'étude.


Selon le professeur Petrovsky, les chercheurs espèrent pouvoir procéder à des essais cliniques sur l'homme dans environ deux ans.

«Notre approche cherche à couvrir toutes les bases et à surmonter les obstacles précédents en trouvant une thérapie pour ralentir l'accumulation de molécules Aβ / tau et retarder la progression de la MA chez un nombre croissant de personnes dans le monde», explique le professeur Petrovsky dans un communiqué de presse. .

Ce n’est pas la première fois qu’un éventuel médicament préventif contre la maladie d’Alzheimer s’avère prometteur, mais chacun de ces médicaments a finalement échoué au moment des essais sur les humains. Dans cet esprit, l'équipe de recherche se dit déterminée et motivée à mettre en place un vaccin efficace qui peut, à tout le moins, retarder et ralentir la progression de la maladie d'Alzheimer.