Elle accouche de jumeaux... De deux pères différents

Oh la boulette...
Une manière pour le moins surprenante d'apprendre que sa femme a été infidèle 😅

Une femme en Chine a donné naissance à deux jumeaux avec un ADN différent.

La mère a été forcée d’admettre qu’elle avait trompé son mari lors d’une nuit, après qu’il eut commencé à soupçonner que l’un des garçons ne lui ressemblait pas.

Quand les résultats des tests ADN sont revenus, il a posé des questions à elle et elle a finalement dû dire la vérité, selon le Strait Herald.

L'histoire a été révélée après que le couple, du sud-est de la ville de Xiamen, eut à enregistrer la naissance de leurs jumeaux au commissariat de police local au début de l'année dernière.

Afin de compléter l'enregistrement, ils ont dû produire les résultats d'un test de paternité prouvant que les bébés étaient les leurs.

Le mari, connu seulement sous un pseudonyme, Xiaolong, s’était demandé pourquoi un de ses fils ne lui ressemblait pas.

Après avoir reçu les résultats de l'ADN, il était toujours choqué de découvrir que l'un des garçons n'avait aucun lien biologique avec lui, selon un directeur du centre d'identification médico-légale du Fujian Zhengtai.

Le centre a organisé le test de paternité pour le couple.

Selon le directeur, M. Zhang, Xiaolong était furieux après avoir lu le rapport d'ADN et a confronté son épouse.

La femme aurait initialement nié cette affaire et aurait accusé son mari de falsifier les résultats.

Après avoir été confrontée à Xiaolong, la femme a admis qu'elle avait couché avec un autre homme et qu'il s'agissait d'une nuit.

Le père a dit qu'il était heureux d'élever son propre enfant, mais pas celui de quelqu'un d'autre.

Les jumeaux qui naissent avec des pères différents est un phénomène extrêmement rare, connu sous le nom de superfécundation hétéropaternelle.

Selon les experts, les probabilités exactes du phénomène sont difficiles à calculer, mais des études précédentes suggèrent que le risque pourrait être compris entre un sur 400 et un sur 13 000, selon The Guardian.