[Résolu] « Rajeunissement » du vagin : une nouvelle tendance qui inquiète les autorités

La chirurgie esthétique génitale féminine (FGCS) comprend plusieurs interventions chirurgicales (telles que le rajeunissement vaginal, la labiaplastie, la liposculpturation vulvaire, la re-virgination avec l’hyménoplastie et l’amplification du p*o*in*t G) visant à améliorer l’apparence des organes génitaux féminins.


À l'heure actuelle, de nombreuses personnes ont entendu parler de l'intervention populaire chez les femmes, appelée rajeunissement vaginal ou vaginoplastie. Pour ceux qui n'ont pas entendu, il s'agit d'une procédure de 1 à 2 heures impliquant le resserrement des muscles et des structures internes et externes du vagin, améliorant le tonus, la force et le contrôle des muscles vaginaux. Le rajeunissement vaginal traite la relaxation vaginale, une affection courante associée à l'accouchement et au vieillissement.


La Food and Drug Administration a annoncé lundi qu’elle avait averti plusieurs entreprises de ne plus commercialiser de dispositifs laser pour des procédures qualifiées de «rajeunissement vaginal», affirmant qu’il s’agissait de traitements dangereux et trompeurs.

L'agence a initialement autorisé la mise sur le marché des lasers et des appareils à base d'énergie associés pour le traitement de maladies graves, telles que le cancer, les verrues génitales ou la chirurgie, y compris les hystérectomies.

Mais ces dernières années, les fabricants ont fait la promotion des lasers contre les symptômes liés à l'atrophie vaginale, à la ménopause, à l'incontinence urinaire et à la fonction s*e*x*u*e*l*l*e. Les cosmétiques, les cures thermales utilisant le laser et d'autres produits pour la santé vaginale sont également devenus populaires chez les jeunes femmes.

Certains traitements utilisent les dispositifs pour détruire ou remodeler les tissus vaginaux, ce qui, selon les fabricants, peut résoudre certains problèmes liés à la sécheresse ou à d'autres affections. Le F.D.A. n'est pas d'accord Mais même si l'agence a initialement approuvé les dispositifs pour certains traitements, il est légal que les médecins les utilisent pour des conditions non indiquées sur l'étiquette.