Un pédophile va être castré chimiquement après qu'une nouvelle loi ait été votée

Un *p*é*d*o*p*h*i*l*e* au Kazakhtan est sur le point d'être le premier du pays à subir une castration chimique.

Quelques mois après l'adoption d'une nouvelle loi, cette méthode permettait de sanctionner la *p*é*d*o*p*h*i*l*i*e*.


L’homme inconnu de la région du Turkestan doit subir une injection supervisée par le ministère de la Santé du pays, ont annoncé des responsables.

Nursultan Nazarbayev, président du Kazakhstan, a alloué plus de 22 000 euros pour environ 2 000 injections à des hommes qui commettent des *a*g*r*e*s*s*i*o*n*s* sur des enfants cette année.

Le ministre adjoint de la Santé, Lyazzat Aktayeva, a déclaré: "À l'heure actuelle, une demande de castration chimique a été déposée conformément à une décision de justice."

Le Kazakhstan a présenté une nouvelle loi sur la castration chimique au début de cette année.

"Des fonds ont été alloués à plus de 2 000 injections", a révélé Aktayeva.

Lorsque la loi a été adoptée, le sénateur Byrganym Aitimova a déclaré que la castration serait «temporaire», consistant en une «injection unique» fondée sur «la nécessité d'empêcher l'homme de (commettre) des violences ».

Les crimes s*e*x*u*e*l*s commis sur des enfants entraînent également des peines de prison allant jusqu'à 20 ans au Kazakhstan.