Castration chimique des pédophiles : Les 2 000 premières injections sont prêtes à l’emploi

Cela serait une sécurité pour les enfants et donnerait à réfléchir aux futur prédateurs 😈😈😈

L'ancienne république soviétique du Kazakhstan est prête à mettre pleinement en œuvre la castration chimique des p*é*d*o*p*h*i*l*e*s et à laisser une trace quasi permanente sur les agresseurs d'enfants condamnés.

Selon les responsables, ils ont 2 000 injections prêtes à l'emploi, tandis que le premier à subir le processus sera un agresseur s*e*x*u*e*l de la région du Turkestan.
 
Le délinquant fera l'objet d'une castration forcée après avoir été reconnu coupable d'agression sur un enfant en avril 2016.

Comme l'a expliqué le président Nursultan Nazarbayev, le gouvernement a alloué environ 25 000 dollars pour environ 2 000 injections de produits chimiques à des agresseurs d'enfants condamnés pour cette année.

"À l'heure actuelle, une demande de castration chimique a été déposée conformément à une décision de justice", a déclaré Lyazat Aktayeva, vice-ministre de la Santé.

La nouvelle loi a été introduite au début de l'année et, heureusement pour les enfants du Kazakhstan, elle a été acceptée à mains ouvertes par le gouvernement et le public.

"Des fonds ont été alloués à plus de 2 000 injections", a révélé le ministre de la Santé.

Selon le sénateur Byrganym Aitimova, les castrations seront "temporaires" et consisteront en une "injection unique" fondée sur "la nécessité d'empêcher l'homme de commettre des violences s*e*x*u*e*l**l*e*s".

Contrairement à la castration chirurgicale, son alternative chimique laisse les parties génitales intactes et peut souvent être réversible. Cependant, malgré les médicaments qui réduisent la libido, une personne peut toujours ressentir des pulsions s*e*x*u*e*l*l*e*s avec le temps.

Outre la castration, les a*b*u*s* s*e*x*u*e*l*s* sur des enfants sont également punissables de 20 ans d'emprisonnement au Kazakhstan.

Malgré la nouvelle loi, de nombreuses personnes soutiennent que la castration chimique n’est pas suffisante et que cela pourrait conduire à de futures attaques.

Comme le soulignent les sceptiques, le meilleur moyen de prévenir totalement les attaques serait de forcer les p*é*d*o*p*h*i*l*e*s condamnés à subir une castration chirurgicale.

Comme l'expliquent les rapports nationaux du Kazakhstan, les procédures seront probablement effectuées dans des cliniques psychoneurologiques du pays.

Le médicament que les médecins administreront est un anti-androgène stéroïdien, la cyprotérone, qui a été développé à l'origine pour aider à lutter contre le cancer.

Le besoin de castration chimique a été détecté car les viols d'enfants dans le pays ont doublé pour atteindre près de 1 000 par an entre 2010 et 2014.