[Résolu] 2000 personnes touchent encore une pension attribué par les Nazis

Jusqu'à environ 1300 euros mensuels.


L’Allemagne continue de verser des paiements à plus de 2 000 personnes dans le monde en vertu d’une loi qui prévoit le traitement des "victimes de la guerre", y compris ceux qui ont collaboré avec le régime nazi de la Seconde Guerre mondiale.
Les données officielles du ministère du Travail ont montré que 2 033 personnes ont bénéficié de ces paiements en février.

Selon la définition de la loi, les bénéficiaires comprennent les personnes ayant subi des problèmes de santé en raison de services militaires ou assimilés, ou d'internement en raison de leur nationalité allemande ou de leur appartenance ethnique au cours de la Seconde Guerre mondiale.

La plupart des bénéficiaires vivent en Europe, le nombre le plus élevé se trouvant en Pologne, où 573 reçoivent encore des paiements.

L'Autriche (101), la Slovénie (184) et la Croatie (71) figurent parmi les autres pays européens comptant un nombre important de bénéficiaires.

Dans les Amériques, 250 bénéficiaires vivent aux États-Unis et 121 au Canada.

Ces paiements ont été examinés après que les législateurs belges aient exigé qu'ils soient retirés pour une poignée de résidents.

Payer les pensions pour "la collaboration dans l'un des régimes les plus meurtriers de l'histoire est en contradiction avec la mémoire collective" et contre les valeurs de l'Union européenne, ont déclaré les législateurs dans un texte législatif adopté mardi.

Pour pouvoir bénéficier du paiement, la personne doit pouvoir prouver une blessure résultant de la Seconde Guerre mondiale. Il ne doit pas avoir été condamné pour crimes de guerre.

La loi est entrée en vigueur pour la première fois en 1950. Mais après qu'il soit apparu que certaines anciennes troupes de la Waffen SS bénéficiaient également d'avantages, un amendement avait été adopté en 1998 afin d'empêcher les individus qui avaient commis des crimes contre l'humanité de la recevoir.

Depuis 2008, toutefois, les différents États allemands chargés d'effectuer les paiements sont autorisés à les retirer.

Jusqu'à environ 1300 euros mensuels.


L’Allemagne continue de verser des paiements à plus de 2 000 personnes dans le monde en vertu d’une loi qui prévoit le traitement des "victimes de la guerre", y compris ceux qui ont collaboré avec le régime nazi de la Seconde Guerre mondiale.
Les données officielles du ministère du Travail ont montré que 2 033 personnes ont bénéficié de ces paiements en février.

Selon la définition de la loi, les bénéficiaires comprennent les personnes ayant subi des problèmes de santé en raison de services militaires ou assimilés, ou d'internement en raison de leur nationalité allemande ou de leur appartenance ethnique au cours de la Seconde Guerre mondiale.

La plupart des bénéficiaires vivent en Europe, le nombre le plus élevé se trouvant en Pologne, où 573 reçoivent encore des paiements.

L'Autriche (101), la Slovénie (184) et la Croatie (71) figurent parmi les autres pays européens comptant un nombre important de bénéficiaires.

Dans les Amériques, 250 bénéficiaires vivent aux États-Unis et 121 au Canada.

Ces paiements ont été examinés après que les législateurs belges aient exigé qu'ils soient retirés pour une poignée de résidents.

Payer les pensions pour "la collaboration dans l'un des régimes les plus meurtriers de l'histoire est en contradiction avec la mémoire collective" et contre les valeurs de l'Union européenne, ont déclaré les législateurs dans un texte législatif adopté mardi.

Pour pouvoir bénéficier du paiement, la personne doit pouvoir prouver une blessure résultant de la Seconde Guerre mondiale. Il ne doit pas avoir été condamné pour crimes de guerre.

La loi est entrée en vigueur pour la première fois en 1950. Mais après qu'il soit apparu que certaines anciennes troupes de la Waffen SS bénéficiaient également d'avantages, un amendement avait été adopté en 1998 afin d'empêcher les individus qui avaient commis des crimes contre l'humanité de la recevoir.

Depuis 2008, toutefois, les différents États allemands chargés d'effectuer les paiements sont autorisés à les retirer.